[LIVRE] Bible judaïque et Talmud : torot
Le ROULEAU déroulé, placé derrière la tête du personnage de la carte de tarot "II La Papesse", est peut-être une Tora juive. Occasion de redéfinir précisément ce que sont les LIVRES juifs, la bible "hébraïque", et le Talmud. L'auteur du texte ci-dessous, rabbin et philosophe, les dénomme : "les deux torot" ...
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carte II LA PAPESSE (sommaire) [#]
voir aussi : Bible chrétienne [#][#][#]
Marc-Alain OUAKNIN : Invitation au Talmud
coll. Champs, Essais - FLAMMARION 2008
[Extraits - intertitres ajoutés] ////////////////////////////////////////////////////////
pp. 43 sq.
Le Talmud [...] est une sorte de commentaire encyclopédique de la Bible hébraïque. Il importe de bien définir le corpus des textes qui constituent la Bible au sens juif du terme, d'en connaître la structure.
Il existe une expression célèbre : "le peuple du Livre", qu'on applique souvent au peuple juif. Ce n'est pas tout à fait juste. Car le peuple juif n'est pas le peuple du Livre, mais des livres.
L'événement de la Révélation est le "don de la Tora" : le Matane Tora. En fait, il faut parler de deux Tora (ou torot), car la Tora est d'emblée plurielle. "Voici [...] les torot que Dieu a données entre lui et les enfants d'Israël, au mont Sinaï, par l'intermédiaire de Moïse." (Lévitique, 26, 46). Le Sifra commente ce verset de la manière suivante : "Pourquoi est-il dit torot au pluriel et non Tora au singulier ? Pour nous enseigner que deux Tora ont été données à Israël : l'une écrite et l'autre orale. [...]
Il faut insister sur ce point : le judaïsme n'a pas pour canon un seul livre. Car, à côté du TaNaKh [...] "Premier Testament", il existe un autre livre : le Talmud. Seule la Bible éclairée et interprétée par le Talmud inscrit l'homme dans une lecture juive des Ecritures. Le peuple juif n'est donc pas seulement le peuple du Livre, mais, selon une formule d'Armand Abecassis, le peuple de l'interprétation du Livre !
La Bible n'est pas un livre, c'est une immense bibliothèque d'où surgissent la puissance de la parole et celle du commentaire ... (cf. M-A Ouaknin : Les Mystères de la Bible, Assouline 2008).
La Bible hébraïque, ou TaNaKh
[...] Par son origine, le mot Bible est pluriel. Les traducteurs grecs de rouleaux très anciens écrits en hébreu utilisèrent, pour nommer ces rouleaux, l'expression ta biblia, "ces livres", d'où, par l'intermédiaire du latin biblia, a été tiré le féminin singulier "Bible".
Rouleau de Tora, XVIIe s. (?)
passage entre l'Exode (Chemot) et le Lévitique (Vayiqra)
collection jésuite, BM de LYON
La Bible se présente comme une collection d'ouvrages dont le contenu diffère selon les traditions qui s'en réclament. On parle en effet de Bible hébraïque ou juive, de Bible catholique ou protestante. La Bible hébraïque est la plus courte, et ce n'est qu'après de vifs débats que le canon biblique juif a été établi, entre le Ier et le IIème siècle de notre ère. Il est divisé en trois grandes parties :
- le Pentateuque, ou Tora
- les Prophètes, ou Neviim
- les hagiographes, ou Ketouvim
Le mot Bible n'a pas d'équivalent en hébreu. On utilise le mot TaNaKh, composé à partir des initiales des mots Tora, Neviim, Ketouvim.
- Le Pentateuque, ou Tora
Pentateuque dérive du grec penta, qui signifie "cinq". Ce sont les cinq livres de Moïse. En hébreu, on dit le Houmach (de hamech, cinq) ou on utilise le terme de Tora. Ce dernier peut désigner par extension toute la bible hébraïque et, par abus de langage, tous les textes juifs traditionnels. La Tora est composée de la Genèse : Béréchit (Le commencement); L'Exode : Chémot (Les noms); Le Lévitique : Vayiqra (Il appela); Les Nombres : Bamidbar (Dans le désert); Le Deutéronome : Dévarim (Les Paroles). Les noms hébraïques de ces cinq livres correspondent au premier mot ou à l'un des premiers mots du premier verset de chacun de ces livres.
- Les Prophètes, ou Neviim
En hébreu, prophète se dit navi ou nabi, et le pluriel masculin se termine par la désinence im. D'où les Neviim. Les Neviim se composent des premiers prophètes, des trois grands prophètes et des douze petits prophètes. Le terme "petit" [...] désigne la longueur du texte, parfois réduit à un seul court chapitre, comme c'est le cas pour Obadia.
- Les Hagiographes, ou Ketouvim
Ces textes n'appartiennent pas à la catégorie historique, ne relatent pas l'histoire du peuple juif ni le récit des prophéties qui y sont attachées. Ce sont les textes de Sagesse ou des histoires symboliques. Des paraboles, en somme. Kétouvim vient de tatouv, "écrit". Il s'agit donc des "Ecrits".
Si les livres bibliques sont au nombre de 36 au total, la tradition n'en compte que 24. Elle considère les douze "petits" prophètes (les Tré-Assar, c'est-à-dire "les Douze") comme constituant un seul livre divisé en douze parties. Vingt-quatre se dit en hébreu kad, qui a la même valeur numérique que le mot cruche (moyen mnémotechnique pour retenir le nombre de livres).
La Bible des Septante (Alexandrie)
- Au IIIe siècle avant l'ère chrétienne, à Alexandrie, la Bible hébraïque fut traduite en grec, plus exactement les cinq livres de la Tora, ou Pentateuque. Cet événement extraordinaire fut suivi au cours des générations ultérieures de la traduction des autres livres de la Bible - Psaumes, livres des Prophètes, livres historiques et poétiques - jusqu'à former, au Ier siècle, l'ensemble des livres en grec que nous appelons la Bible des Septante, ou, plus simplement, la Septante. [...]
- Soulignons que cette version grecque de la Bible peut être considérée comme une bible juive parce que traduite par des maîtres du judaïsme à l'attention de la communauté juive de langue grecque. Cependant, fait marquant, elle diffère, dans sa structure et son contenu, de l'original.
- L'ordre des livres ne suit pas le canon hébraïque et l'on trouve un ensemble de livres qui n'y apparaissent pas et sont par conséquent considérés comme extérieurs, ou apocryphes. Ils sont réunis sous l'appellation de "deutérocanoniques". Ils sont entrés plus tard dans le canon biblique chrétien intitulé L'Ancien Testament. Les livres deutérocanoniques sont : Le Premier Livre d'Ezra, la Sagesse de Salomon, la Sagesse de Ben Sira (ou Ecclésiatique), Judith, Tobit, Baruch, la Lettre de Jérémie, Le Livre des Macchabées I et II, les suppléments grecs au livre d'Esther et au livre de Daniel (Suzanne, Bel et le Dragon).
------> cf en anglais : www.newadvent.org/cathen/13722a.htm
La Bible chrétienne
[...]
Le mot "Bible" désigne tout à la fois le canon hébraïque et le canon chrétien qui fut construit sur le modèle de la Septante, auquel fut ajouté l'ensemble du Nouveau Testament [quatre Evangiles relatant la vie et les paroles du Christ, Actes des Apôtres, diverses Lettres (épîtres) de St Paul, St Pierre, St Jacques, St Jude, St Jean, Apocalypse].
exemple de Bible chrétienne
Biblia
de Robert ESTIENNE [bio]
Paris, 1532
collection jésuite
BM de LYON (France)
La Bible chrétienne se compose ainsi de trois parties :
- le canon biblique hébraïque (24 livres);
- les livres deutérocanoniques (11 ou 12 livres);
- le Nouveau Testament ("deuxième témoignage")
------> cf . [LIVRE] Bible chrétienne [#]
[LIVRE] Histoire des livres apocryphes [#]
Le corpus talmudique
- Pendant des siècles, l'interdiction de transcrire l'enseignement oral (Tora chébealpé) a été considérée comme une loi fondamentale. Plus tard, les maîtres de la Tradition décidèrent de mettre l'enseignement oral sous une forme écrite, de peur qu'il ne s'oublie. Geste qu'ils justifièrent par leur interprétation d'un verset des Psaumes : "Il vient un moment où vous pourrez annuler la Tora pour la fonder." (Guittin, 60b). Ainsi, il vaut mieux qu'une partie de la Loi soit abrogée plutôt que la loi toute entière oubliée.
- Parce qu'il est la transcription de la Loi orale, le Talmud concentre l'essentiel de la pensée hébraïque. Le judaïsme s'entracine par là même dans cette oeuvre monumentale, élaborée dans la forme que nous lui connaissons sur une période de plus de sept siècles (du IIe siècle avant l'ère chrétienne jusqu'au milieu du VIe sècle). Le Talmud se compose de deux parties distinctes : la Michna et la Guémara. La première représente le texte proprement dit, la seconde en est le commentaire.
- La Michna
On désigne sous le nom de Michna un recueil de décisions et de lois embrassant tous les domaines de la législation civile et religieuse. Ce code, [...] fut définitivement établi par Rabbi Yéhouda Hanassi, en Israël, vers la fin du IIème siècle de notre ère.
Six parties ou ordres (sédér) se subdivisent à leur tour en traités, puis chapitres et enfin alinéas (Michna) [...][et] s'articulent autour de six thèmes : la terre (Zeraïm, littéralement : "Des semences"), le temps, le féminin, la société, le sacré, la mort (Taharot : "Des choses pures"). [...]
Première Michna complète imprimée (1492)
Traité Kilayim (de l'ordre Zeraïm, "Des semences")
édité par Joshuah Solomon Soncino
NAPLES, Italie
British Library, MS C.50.e.6 ff. 22v-23
www.bl.uk/onlinegallery/sacredtexts/mishnah.html
page sur les espèces à ne pas mélanger, avec diagrammes des ensemencements permis dans les champs, et commentaire de Maïmonide traduit de l'arabe
Les 63 traités de la Michna comportent 524 chapitres. Leur titre, attribué dès l'origine, souvent en fonction du contenu, n'a pratiquement pas varié jusqu'à nos jours. [...]
- La Guémara
Le mot Talmud, de la racine lamed, désigne l'ensemble de la Michna suivie de son commentaire, la Guémara (de la racine gamar, "terminer, achever, compléter, étudier"). Commentaire perpétuel, elle suit la Michna dans toutes ses divisions et subdivisions.
pp. 55
Le but de la Guémara est d'éclairer, d'expliquer la Michna. D'abord d'un point de vue terminologique : les mots, les expressions, les tournures et les choix rhétoriques. Elle cherche ensuite sur quels versets de la Bible s'appuie la loi énoncée par les maîtres de la Michna, puis s'emploie à comprendre le sens philosophique de cette loi. Elle en recherche alors la référence narrative, soit dans le texte biblique lui-même, soit dans les récits de la vie des maîtres, les paraboles ou histoires racontées par les maîtres. [...]
La Guémara précise la Michna en ce qu'elle aboutit soit à en déterminer le sens, soit à dégager des conclusions juridiques (halakhot). Mais, dans sa forme, la Guémara reste plus proche du bouillonnement des discussions orales, qu'elle tend à restituer. [...] Ainsi, les discussions rapportées dans la Guémara ont précédé la mise au point ultime de la Michna, qui en est comme la codification, le verdict concentré.
- Rien n'est écrit au hasard, tout est réfléchi, précis. La Michna n'est pas considérée comme un texte définitif puisqu'elle cite plusieurs interprétations contradictoires, sans prendre parti. La Guémara reprend tout cela, prolonge les discussions par des commentaires, tranche d'une manière définitive les points qu'elle juge litigieux, met partout de l'ordre et de la lumière. [Elle] s'attache d'abord aux lois rapportées comme définitives, en recherche l'origine et choisit entre les diverses explications, jusqu'à en trouver une qui résiste à toutes les objections.
Les deux Talmud
pp. 55
L'existence de deux Gémarot distincte a donné naissance à deux Talmud : le Talmud de Jérusalem et le Talmud de Babylone.
- Le Talmud de Jérusalem
est l'oeuvre des écoles installées en terre d'Israël, les académies de Séphoris, Tibériade, Césarée et Lydda (Lod). Il fut définitivement établi à Tibériade vers 380. [...] Le commentaire y est moins vaste que dans la version babylonienne. de ce fait, il a été quelque peu négligé par les docteurs et les copistes du Moyen Age. Il nous est parvenu très endommagé et ayant subi de nombreuses pertes à travers les ans. On ne possède qu'une copie manuscrite, celle qui a servi à l'édition princeps, à Venise, en 1523.
- Le Talmud de Babylone,
seconde rédaction de la Guémara, est le fruit des écoles de Babylonie, les académies de Soura, Néhardéa et Poumbédita. [...] rédigée par Rav Achi (376-427) et son disciple Ravina (vers 420), puis terminée par Rav Yossé aux alentours de l'an 500.
Talmud de Babylone
(Berakhot)
Edition de Daniel Bomberg
Volume 1, Folios. 46v-47r
Venise
1520-1523,
source : cojs.org
Langue et style
- Si dans la Michna, le fond linguistique est l'hébreu, [...] la langue de la Guémara est beaucoup plus proche de l'idiome populaire, sorte d'araméen plus ou moins corrompu. Néanmoins, on y retrouve de l'hébreu de toutes les époques et parfois même de l'hébreu presque classique, selon l'ancienneté des textes reproduits. Une même page du Talmud contient de l'araméen à trois ou quatre stades différents de son évolution. Il n'est pas rare de voir le rédacteur du Talmud citer une interprétation d'un rabbin du IVe siècle, écrite en araméen, et la confirmer en reproduisant celle d'un docteur du IIe siècle, mot pour mot identique, rédigée cette fois en hébreu.
- La Michna et la Guémara sont composées de deux catégories d'écrits totalement imbriqués l'une dans l'autre :
- la Halakha (le prescriptif)
- et la Aggada (le narratif).
- La Halakha représente la partie juridique du Talmud et regroupe aussi bien les aspects religieux que civils du droit. [...] elle ne transmet pas seulement les lois établies par les docteurs, mais aussi l'ensemble des discussions qui aboutissent à l'établissement de ces lois. Nous comprenons alors le terme de halakha dans son sens étymologique, le "cheminement" (du verbe halakh, marcher).
Commentaires additionnels
- Depuis sa première parution, au XVIe siècle, le simple terme "Talmud" sous-entend Michna-Guémara-Rachi-Tossafot. En effet, dès sa première édition complète, celle de Bomberg, à Venise (1520-1523), le Talmud se présente accompagné de deux commentaires,
- celui de Rachi
- et celui des Tossafistes [XIIe et XIIIe siècles, en grande partie disciples de Rachi], ou Tossefot.
Depuis, ces commentaires font corps avec le Talmud. - La page talmudique se présente en trois colonnes. Au centre, le texte de la Guémara et/ou de la Michna. Dans la colonne interne (par rapport à l'axe central du livre) se trouve le commentaire de Rachi, en caractères dits justement "de Rachi" alors que le texte central est écrit en caractères hébraïques carrés. Dans la marge externe, la colonne des commentaires des Tossafot, aussi imprimée en "caractères Rachi".
- Rachi est un acronyme qui signifie Rabbi Chlomo Itshaqui (Troyes, 1040-1105). Il nous a légué deux oeuvres : un commentaire sur la Bible, un autre sur le Talmud, écrits dans un hébreu très clair. souvent, lorsqu'il ne trouve pas l'explication adéquate d'un mot en hébreu, il en donne la traduction en français de l'époque. Rachi écrit avec une extrême concision, sans mots superflus pour enrichir le style. [...] C'est un exégète qui s'applique à rester "neutre" : il ne prend pas parti, ne tranche aucune discussion et commente avec autant de clarté les idées des uns et des autres.
Premières éditions du Talmud
- Première édition : Guadalajara, 1482
[...] Les premiers livres juifs imprimés datent probablement des années 1470. [...] Seuls des fragments [de cette édition princeps] nous en sont parvenus, qui ne nous permettent pas de certifier qu'il s'agissait d'une version complète. Dix ans plus tard, avec l'expulsion des juifs d'Espagne, puis avec celle des juifs du Portugal, tous les livres juifs furent confisqués.
L'édition de Guadalajara a été découverte récemment. On connaît mieux l'édition, inachevée semble-t-il, parue en Espagne et en Italie (à Soncino [1484-1519] et à Pesaro), éditée par Yéhochoua Shlomo et son neveu Gershom de Soncino.
ci-contre : une page du Traité Eruvin, Talmud de Babylone, Pesaro (ca 1515-1520)
source : www.collectionscanada.gc.ca
- L'édition de Venise, édition princeps, 1523
[...]
En 1520, le pape Léon X [Giovanni de Medici] autorisa sa publication, et la première édition complète du Talmud fut entreprise à Venise. Ce travail fut réalisé par Daniel Bomberg, un imprimeur non juif d'origine anversoise [...]. C'est chez lui que de nombreux livres de référence furent imprimés et reçurent la forme qu'ils devaient conserver plus tard; c'est à lui que l'on doit l'édition définitive du Talmud de Babylone. Daniel Bomberg fut aidé dans sa tâche par deux talmudistes célèbres, Eli Levita et Rabbi Ben Hayyim.
Cette première édition détermina le format des pages, leur nombre, la place attribuée sur le feuillet aux commentaires principaux. [...] Pour le distinguer des commentaires, le texte est imprimé en caractères carrés, forme simplifiée des lettres utilisée pour l'écriture des rouleaux de la Tora, tandis que les commentaires sont en cursive. Celle-ci a été appelée "caractères de Rachi" par les juifs d'Europe occidentale, peu familiers de cette graphie d'origine séfarade.
[...]
L'édition Bomberg rendit possible l'introduction d'une méthode appropriée de marquage des citations : y étaient indiqués le nom du traité et le numéro de la page et du feuillet (le feuillet étant une page recto-verso numérotée sur le recto).
[...]
Toutes les éditions successives ont accepté la mise en page vénitienne : le commentaire de Rachi dans la marge interne et les commentaires de ses disciples dans la marge externe; le texte du Talmud, Michna et Guemara, se trouvant au milieu. La pagination a été reprise dans toutes les éditions suivantes. Ainsi, le Talmud comprend 2947 feuillets, soit à peu près 6000 pages.
[fin de citation]///////////////////////////////////////////////////////////////////
Extraits de la Sainte Bible cités dans le blog :
traduction de la liturgie catholique : Psaume 1 [#] - Epître de St Paul aux Hébreux [#] - Ezéchiel [#]
traduction protestante de Louis Segond : Actes des Apôtres [#]
références bibliques : "Le démon" [#]; "Satan et la Providence (initiation théologique)" [#]
I L L U S T R A T I O N S
Rouleau de Tora, XVIIes. (collection jésuite) ouvert au passage entre l'Exode et le Lévitique :
http://www.bm-lyon.fr/expo/virtuelles/jesuite/gif/35.gif
Biblia de Robert ESTIENNE, Paris, 1532 :
http://www.bm-lyon.fr/expo/virtuelles/jesuite/gif/34.gif
Mishnah complète de J. S. Soncino, 1492 :
http://www.bl.uk/onlinegallery/sacredtexts/mishnah.html
Talmud de Babylone, Edition Gershom Moïse Soncino, Pesaro, 1515-1520 ? , Traité Eruvin sur le Sabbat
http://www.collectionscanada.gc.ca/incunab/s6-216-f.html
Talmud de Babylone, Edition Bomberg, Venise 1520-1523, Berakhot, folios 46v-47r
http://cojs.org/cojswiki/Talmud,_Berakhot,_Venice,_1520-1523,_Printed_by_Daniel_Bomberg,_BM499_1520-1523_v.1,_Fols._46v-47r.
L I E N S
L'AUTEUR DU TEXTE : fr.wikipedia.org/wiki/Marc-Alain_Ouaknin
LIEUX ET FAITS DE CIVILISATION CITES :
ARAMEEN : http://fr.wikipedia.org/wiki/Aram%C3%A9en
BABYLONE : http://www.newadvent.org/cathen/02179b.htm
BIBLE : http://www.newadvent.org/cathen/02543a.htm
BIBLE, les diverses versions : http://www.newadvent.org/cathen/15367a.htm
BIBLE HEBRAÏQUE AVEC COMMENTAIRES DE RACHI : URL : www.sefarim.fr/
JUDAÏSME : http://www.newadvent.org/cathen/08399a.htm
TALMUD : http://www.newadvent.org/cathen/14435b.htm
TALMUD DE BABYLONE :
traité Berakhot (Des Bénédictions) : www.come-and-hear.com/berakoth/index.html
lien avec la liturgie catholique : http://www.liturgica.com/html/litEChLitJ.jsp
TIBERIADE : http://www.newadvent.org/cathen/14716a.htm
PERSONNAGES CITES :
Robert ESTIENNE (1503 - 1559) :
www.u-cergy.fr/dictionnaires/auteurs/estienne.html
fr.wikisource.org/wiki/Biographie_universelle_ancienne_et_moderne_(1843)/ESTIENNE_(Robert_Ier)
Pape Léon X, Giovanni de Medici (1475 - 1521) :
www.newadvent.org/cathen/09162a.htm (en Anglais)
fr.wikipedia.org/wiki/L%C3%A9on_X (en Français)
RACHI (ca 1040 - Troyes 1105) :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Rachi
http://ghansel.free.fr/rachi.html